Nyroc Wolfen, guerrier loup-garou. Finit

La seule chose qu'on peut dire, c'est que Nyroc est quelqu'un qui reste droit dans ses bottes. Ce n'est pas le genre de personnes à se mettre à dos. Son air sévère montre des signes de plusieurs combats. La cicatrice sur la joue en est la preuve. C'est quelqu'un qui ne garde pas sa langue dans sa poche. Il aura toujours tendance à dire les quatre vérités que cela vous plaise ou non.

Cela dit, c'est quelqu'un auquel on peut compter dans les moments durs. Il est d'une loyauté envers ses camarades qu'on pourrait croire protecteur. L'idée de coucher avec une jeune femme ne le dérange pas. À vrai dire, quand il voit une femme à poil cela pourrait le gêner voir même le faire perdre totalement ses moyens. Par contre, si quelque chose occupe déjà son esprit, il va vite oublier ce détail. C'est un homme qui est très combatif, ce qu'il n'hésite pas ce surpassé dans les moments critique. On ne la presque jamais vue fuir quoi que ce soit. C'est quelque chose qu'il lui est insupportable.

Bien qu'il possède un caractère bien trempé, ce n'est pas une personne impulsive pour autant. Nyroc reste quelqu'un de mesuré. Il sait juger les personnes si, elles sont à éviter ou non. Il est aussi capable de juger si la situation mérite une intervention de sa part. Il a tendance à éviter de se mêler de ce qui ne le regarde pas et des histoire sans intérêt. Sur le côté hiérarchique, il se montrera respectueux le plus possible. Bien sûr, si vous êtes le dernier des salopards. Il se montrera bien froid et cassant.

L'histoire de Nyroc se résumait en trois mots : combat, fierté et honneur. C'était sur ces trois mots que Nyroc continuait de vivre. Depuis tout jeune, Nyroc était un enfant terrible. Un enfant qui n'hésitait pas à se battre quand l'honneur de quelqu'un était en jeu ou salit. Il n'hésitait pas non plus à se battre contre n'importe qui, petit, gros, jeune, vieux. Toutes les personnes auxquelles il affrontait étaient encore une question d'honneur. Ce n'était pas la personne qui faudrait rabaisser. He bien oui, quand il se battait, c'était aussi une question de fierté. Une fierté dans ce combat, une fierté en ce nom qui portait. Ses talents et son goût pour le combat furent développés et remarquer par sa mère. Bien sûr, ses combats ramenés assez souvent des problèmes à la maison. Il fréquentait assez souvent les cachots pour le calmer de ses combats. Sa mère avait dû lui apprendre les bases du combat ainsi que de garder son sang-froid. Nyroc apprenait les bases à rythmes fous, mais ses sauts d'humeurs étaient parfois à apaiser. Comme cette soif de combattre qui le rongeait en lui.

Il y a dix de cela quand certains royaumes étaient en conflit. Nyroc faisait partie d'un groupe de mercenaire. Ce groupe-là faisait toutes sortes de mission dangereuse comme partir en soutiens dans un champ de bataille. Bien sûr, ceci était un exemple, mais, cela vous donnait une idée de voir comme Nyroc vivait dangereusement. 27 ans plus tôt, la mère de Nyroc était une aventurière. Elle était une voyageuse et experte au combat rapproché. Lassée de ses voyages, elle se rendait à Silit pour vivre une vie plus posée. Bien qu'elle soit une étrangère, elle tombait amoureuse d'un lycan, citoyen de la cité. Ce qui donnait naissance à Nyroc.

Ayant atteint l'âge d'entrer dans l'armée de Silit. Nyroc s'y engageait. Mais le comportement belliqueux du jeune lycan lui attirait souvent des ennuis. Voyons qu'il ne pourrait assouvir sa soif de combat. Il quittait alors l'armée ainsi que la cité en partant pour le royaume de Dalfon. Son voyage de guerrier lui avait permis de combattre à loisir jusqu'à qu'un groupe de mercenaire le remarquait. Voyons ses talents au combat, il recrutait le lycan devenant petit à petit mercenaire confirmer. Jusqu'à comme vous le saviez, dix auparavant nous disions donc. Il avait eu cette guerre, ce conflit entre le royaume de l'ouest et du sud. Le groupe de mercenaire était alors engagé par un général pour une prise d'assaut sur un bastion. Jusqu'à là, il n'avait rien de compliquer, il devait alors juste soutenir l'armée de Dalfon pour une prise d'un poste stratégique. Pour le groupe, c'était du tout cuit. Sauf que le général en question, n'avait pas tout dit sur les ennemis auxquels ils allaient devoir combattre.

C'était alors qu'un plan devait être mis en place. Le bastion était solidement bien défendu. Les portes à double battant était renforcé pour encaisser plusieurs coups de bélier. Le seul truc qui allait être gênant était la grille. Il fallait donc l'ouvrir de l'intérieur. Nyroc allait être dans le groupe auquel il allait être sur-le-champ de bataille. Ainsi, les mercenaires allaient être divisées en deux groupes. Le jour J, le combat faisait rage et le groupe appliquait alors le plan. La moitié de l'équipe s'en sortait, mais, ils perdaient patience. En ne voyant pas les grilles s'ouvrir, se demandant qu'est-ce qui se passait. Soudainement, ils voyaient les soldats sur les remparts jetaient les corps des mercenaires qui s'étaient infiltré. La mission était un échec et la corne de retrait retentissait. Le général en question était furieux de l'échec de la mission même pire, il les renvoyait en leur intiment de plus se montrer à nouveau.

Le goût de la défait fut rude, la colère de cette injustice l'était encore plus. Ce qui restait du groupe enterrait alors les corps de leur compagnon mort. Nyroc en profitait pour récupérer le bandeau sur le corps de son meilleur ami. Ce jurant de plus se battre pour les autres, mais, pour lui-même à présent. Il quittait alors les mercenaires pour travailler uniquement pour son propre compte. Il continuait alors d'enchaîner contrat sur contrat pendant sept années.

Sur le retour d'une de ses dernières missions, Nyroc fut témoin d'un pillage sur une charrette de voyageur. Les bandits étaient sur le point de violer une enfant. Les mécréants avaient tué les parents de la petite. Le lycan n'était pas fait prier et éliminait les pourritures. Il repartit alors sans rien dire en laissant la gamine tout seul, mais, cette gamine allait donc adoucir le coeur du guerrier. Elle décidait donc de suivre le guerrier n'ayant pas d'autre choix pour survivre. Elle y vouait une certaine admiration pour le guerrier et surtout une dette. Au départ, il voulait s'en débarrasser d'elle, ne supportant pas d'avoir une pot de colle à ses baskets. Petit à petit, il commençait à l'apprécier et à accepter sa présence à coté de lui. Ce qui venait de lui donner une idée. Il décidait alors l'entraîner pour pouvoir qu'elle se défende toutes seule. Un jour, la jeune enfant lui avouait qu'elle avait encore de la famille à Silit. Elle lui avait caché ça parce qu'elle se sentait en sécurité avec lui. Ils mettaient alors d'accord qu'ils iraient à Silit et qu'ils se séparaient ensuite.

En arrivant en ville, le duo se séparait laissant la petite partir vers les membres de sa famille. Le guerrier décidait de faire un tour son foyer. Sa mère et son père furent surpris et heureux de le revoir. Pendant qu'il sa visite, il leur racontait ce qu'il avait fait pendant ses dernières années loin du royaume de Silit. Il leur expliquait aussi la raison de son retour. Son père lui demandait ce qu'il comptait faire ensuite. Il lui répondit qu'il n'en savait trop rien, mais, il avouait qu'il comptait se mettre en retraite. Son vieux lui propose de créer un dojo dans cette ville sachant qu'il avait déjà pris quelqu'un comme élèves. Il argumentait aussi que ses connaissances en matière de combat ne seraient pas de trop pour les jeunes qui veulent se défendre d'un viol. L'idée dans son ensemble semblait être séduisant. De plus, le dojo pourrait lui permettre d'attirer des adversaires de mesure. Et puis, ce n'était pas une mauvaise idée pour prendre se retiré des champs de combat. Un peu de repos de n'était pas de refus, surtout dans la ville du luxe. Par contre, il allait devoir à ce préparer à toute sorte d'imprévue.