Les prédéfinis du staff

Leur relation est... quelque peu compliquée. D'un côté, mère et fille s'aiment sincère et inconditionnellement, mais de l'autre, Aura arbore à l'égard de sa mère beaucoup de ressentiment qu'elle masque tant bien que mal due à l'éducation qu'elle a reçu et surtout la vie qu'elle a mené à cause de cette dernière, d'autant plus qu'Aura est terrifiée à l'idée de ne pas pouvoir être à la hauteur des espérances de sa mère.

Même s'il n'a que cinquante ans d'écart avec son aînée, ces cinquante années ont fait de Silit un élément bien plus libre de la famille, sur lequel elle a moins de contrôle, et qu'elle ne souhaite pas restreindre : elle le sait populaire auprès du peuple et, par conséquent, une composante importante du pouvoir lorsqu'Aura prendra sa succession. Elle est aussi au courant de bien des choses qu'il ignore qu'elle sait à son sujet, comme son complexe de ne posséder ni cornes, ni ailes, ni queue, quand les autres membres de sa famille ont au moins un des trois caractères.

Les relations entre la cadette de la famille royale et la mère sont tendues, pour ainsi dire. Lizbeth est en pleine crise d'adolescence, et malgré ses tentatives pour faire entendre raison à la jeune succube et la convaincre d'adopter un comportement plus digne de son rang, cette dernière s'obstine à ne pas écouter sa mère et défier son autorité. Une de ces années, cette attitude deviendra réellement problématique...

Si personnellement ils ne se connaissent que peu, la reine a pleine confiance dans les capacités et le potentiel du général et, jusqu'à présent, n'a jamais eu à se plaindre de lui.

Farlyn est dans une position un peu étrange. Protégée de la reine, elle a clairement été placée par là par cette dernière pour s'assurer un certain contrôle sur l'armée quand elle sentait son influence sur cette dernière se réduire, et Farlyn en est consciente. D'un autre côté, Farlyn aime, sincèrement et profondément la reine, et ne semble pas se plaindre de n'être qu'un pion parmi tant d'autres...

Après la reine, Melith est à coup sur la personne la plus influente de la Cité. Cependant, loin de se lancer dans de vains et destructeurs jeux de pouvoirs, les deux femmes semblent bien s'entendre et même, oserons nous le dire... amies ?

D'ennemi juré à amant fidèle, on peut dire qu'il y a eu un sacré chemin parcouru depuis leur première rencontre. Karen sait parfaitement que celui qu'elle estime comme son bras droit lui est fidèle. Tiraillée entre l'amour qu'elle lui porte et son devoir de le contrôler, elle joue un jeu dangereux avec celui qui mourrait pour ses beaux yeux. Cependant elle n'est pas aveugle, pleinement consciente que son garde du corps, conseiller et fier général a depuis peu pris quelques distances avec elle, elle est bien décidée à obtenir le fin mot de cette histoire.

Leur relation est... quelque peu compliquée. D'un côté, mère et fille s'aiment sincère et inconditionnellement, mais de l'autre, Aura arbore à l'égard de sa mère beaucoup de ressentiment qu'elle masque tant bien que mal due à l'éducation qu'elle a reçu et surtout la vie qu'elle a mené à cause de cette dernière, d'autant plus qu'Aura est terrifiée à l'idée de ne pas pouvoir être à la hauteur des espérances de sa mère.

Comme on peut s'y attendre, Karel et Aura sont proches, très proches ! Cadet d'une cinquantaine d'années à peine, ils ont été pratiquement élevés côte à côte, mais de façons complètement différentes. Aura envie le caractère plus spontané, presque enflammé de son petit frère, tandis que ce dernier ne peut que respecter le calme et la réserve qu'elle parvient à afficher en toutes circonstances... Opposés, mais complémentaires ?

La plus jeune et la plus âgée des sœurs de la famille royale ont une relation... moins intime qu'on pourrait le penser. Aura a beaucoup de mal à comprendre la jeune femme en pleine crise, et si son amour pour sa jeune sœur est sincère, elle comprend aussi parfaitement que si quelqu'un dans la famille a de l'influence sur elle... cette personne est Karel.

Même s'il n'a que cinquante ans d'écart avec son aînée, ces cinquante années ont fait de Karel un élément bien plus libre de la famille, sur lequel elle a moins de contrôle, et qu'elle ne souhaite pas restreindre : elle le sait populaire auprès du peuple et, par conséquent, une composante importante du pouvoir lorsqu'Aura prendra sa succession. Elle est aussi au courant de bien des choses qu'il ignore qu'elle sait à son sujet, comme son complexe de ne posséder ni cornes, ni ailes, ni queue, quand les autres membres de sa famille ont au moins un des trois caractères.

Comme on peut s'y attendre, Karel et Aura sont proches, très proches ! Séparés par une cinquantaine d'années à peine, ils ont été pratiquement élevés côte à côte, mais de façons complètement différentes. Aura envie le caractère plus spontané, presque enflammé de son petit frère, tandis que ce dernier ne peut que respecter le calme et la réserve qu'elle parvient à afficher en toutes circonstances... Opposés, mais complémentaires ?

Le moins qu'on puisse dire, c'est que Lizbeth est... extrêmement attachée à Karel. Voyant en son grand frère le père dont elle manque cruellement, elle semble même lui vouer une sorte d'admiration, faisant de son grand frère le seul membre de sa famille à avoir la moindre forme de contrôle sur elle... pas de chance, il est aussi celui dont le comportement est le plus proche du sien !

Les relations entre la cadette de la famille royale et la mère sont tendues, pour ainsi dire. Lizbeth est en pleine crise d'adolescence, et malgré ses tentatives pour faire entendre raison à la jeune succube et la convaincre d'adopter un comportement plus digne de son rang, cette dernière s'obstine à ne pas écouter sa mère et défier son autorité. Une de ces années, cette attitude deviendra réellement problématique...

La plus jeune et la plus âgée des sœurs de la famille royale ont une relation... moins intime qu'on pourrait le penser. Aura a beaucoup de mal à comprendre la jeune femme en pleine crise, et si son amour pour sa jeune sœur est sincère, elle comprend aussi parfaitement que si quelqu'un dans la famille a de l'influence sur elle... cette personne est Karel.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que Lizbeth est... extrêmement attachée à Karel. Voyant en son grand frère le père dont elle manque cruellement, elle semble même lui vouer une sorte d'admiration, faisant de son grand frère le seul membre de sa famille à avoir la moindre forme de contrôle sur elle... pas de chance, il est aussi celui dont le comportement est le plus proche du sien !

Si personnellement ils ne se connaissent que peu, la reine a pleine confiance dans les capacités et le potentiel du général et, jusqu'à présent, n'a jamais eu à se plaindre de lui.

Les relations entre les deux généraux sont... tendues pour ainsi dire. Leurs caractères ne sont pas compatibles, et s'ils n'étaient pas obligés de régulièrement se côtoyer à cause de leur travail, nul doute qu'ils s'éviteraient comme la peste ! Cependant, ils ont l'un comme l'autre pleinement conscience des capacités de leur homologue, et tout du moins se respectent mutuellement pour ces dernières.

Farlyn est dans une position un peu étrange. Protégée de la reine, elle a clairement été placée par là par cette dernière pour s'assurer un certain contrôle sur l'armée quand elle sentait son influence sur cette dernière se réduire, et Farlyn en est consciente. D'un autre côté, Farlyn aime, sincèrement et profondément la reine, et ne semble pas se plaindre de n'être qu'un pion parmi tant d'autres...

Les relations entre les deux généraux sont... tendues pour ainsi dire. Leurs caractères ne sont pas compatibles, et s'ils n'étaient pas obligés de régulièrement se côtoyer à cause de leur travail, nul doute qu'ils s'éviteraient comme la peste ! Cependant, ils ont l'un comme l'autre pleinement conscience des capacités de leur homologue, et tout du moins se respectent mutuellement pour ces dernières.

Après la reine, Melith est à coup sur la personne la plus influente de la Cité. Cependant, loin de se lancer dans de vains et destructeurs jeux de pouvoirs, les deux femmes semblent bien s'entendre et même, oserons nous le dire... amies ?

Ce qu'on peut dire, c'est qu'ils ont de loin la relation amicale la plus tendue de la cité. L'humain a su s'imposer petit à petit dans sa vie. Ne voyant d'abord pas l'utilité d'un garde du corps, elle a finit par de plus en plus apprécier l'humain et ses divers talents, tant en magie ou en protection. Un subtil mélange entre professionnalisme, amitié et passion naquit entre eux. Malgré la frustration éprouvée par la prêtresse de jour en jour face à l'inflexible blondinet, Cavendish a cédé une fois à ses charmes... Depuis, madame redouble ses avances face à son preux chevalier, lui ayant laissé une très bonne impression cette nuit là. Et qu'importe le nombre de refus qu'elle se prendra, elle saura qu'il reviendra goûter à la chaleur de ses bras.